genèse
L’histoire de TAAC racontée par son président-fondateur, Romain Brasseau.
TAAC est une association à but non lucratif d’intérêt général,
NOTRE MISSION
Éclairer
Mettre en lumière la merveilleuse alliance de l’Humain et de l’Animal à travers la médiation animale.
NOTRE BUT
Transformer le regard
Amener l’Homme à porter un nouveau regard de respect et de gratitude sur nos compagnons du Vivant.
notre OPTIQUE
L’universel
Mettre en lumière le beau, croiser les regards de tous les horizons et cultures, explorer les solutions d’avenir.

notre VISION
Les suricates de notre logo symbolisent les trois pouvoirs humanisants de l’animal.
Il pacifie les relations
Il soulage de l’isolement
Il éveille nos consciences
L’animal pacifie les relations.
En milieu carcéral, lieu de tensions où la violence ne fait qu’augmenter, la présence animale a fait ses preuves. L’animal pacifie les relations entre détenus ainsi qu’entre les détenus et le personnel pénitentiaire. Il détourne l’attention des tensions, devient un sujet de conversation partagé et apporte de la chaleur dans des lieux déshumanisés.
Permettre à des primo délinquants ou à des nouveaux arrivants de bénéficier dès leur incarcération des bienfaits de la présence et de la médiation animale permet de faciliter en particulier la lutte contre l’embrigadement.
C’est pourquoi TAAC a choisi de soutenir le projet de présence et de médiation animale en milieu carcéral initié par Patricia Arnoux, fondatrice de l’association EVI’DENCE.
L’animal apaise et soulage.
L’animal est capable de consoler, d’apporter du soin et parfois de guérir : enfants autistes, adolescents anorexiques, personnes handicapées, individus souffrant de dépression, personnes âgées enfermées dans la solitude ou placées en institutions spécialisées, femmes battues quittant le domicile avec leurs enfants…
En particulier en milieu carcéral, des personnes détenues, que rien ni personne n’arrachaient au repli sur soi et à la dépression, ont pu retrouver un équilibre grâce à l’animal, qui les a aussi aidé à se reconstruire. Car prendre soin d’un animal c’est devenir responsable. Et redonner à un délinquant le sens de sa responsabilité individuelle et de son utilité est la condition sine qua non pour sa réinsertion durable. Quand l’animal devient le libérateur de l’humain
L’animal élargit notre conscience.
Etre indifférent à la souffrance animale dans l’enfance prépare à être indifférent à la souffrance dans sa vie d’adulte. L’animal ne sert pas qu’à bercer l’enfant, il structure son aptitude à éprouver de la compassion envers l’autre et le prépare à vivre en société. Ce constat ouvre la voie à des pédagogies et programmes d’éveil pour aider les enfants à développer leur potentiel émotionnel et relationnel, l’empathie, le sens de la responsabilité, l’éthique animale.
Mais l’animal nous emmène plus loin. Certains humains ont libéré leur capacité à percevoir les émotions et pensées des animaux et ils nous rapportent des messages : les animaux portent un regard sur nous. La communication inter-espèces bouleverse notre vision et notre rapport à tous les êtres vivants qui nous entourent.
TAAC lance EN OCTOBRE 2019 INTUITEURS SANS FRONTIÈRES

INTUITEURS SANS FRONTIÈRES développe des projets et programmes précurseurs en partenariat avec des acteurs qui s’intéressent à la communication intuitive inter-espèces et à ce qu’elle peut apporter à l’Humain et à son futur avec les autres êtres vivants.
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